22 La collection picturale du musée municipal de la ville de Lorient. Partie 1
Part of this collection is in the reserves of the municipal museum of the City of Lorient, that is to say in the town hall building itself, 2 boulevard Philippe Leclerc, in Lorient.
It was acquired by the elected officials of the Town Hall in 1895. This collection of works by Michel Bouquet has therefore been owned by Lorient for almost 125 years.
There are not only works by Michel Bouquet in this collection bought by the taxes of the Lorient residents, but also some rare fragments which have survived from the dispersion of his personal collection, including two Troyons, two Isabey and especially two Géricault, the life of this last painter having been so courteous, that his works are of a remarkable rarity.
There are also works by Henry Moret, Groix or Entrée du port de Doeslan in these reserves of the Town Hall of Lorient. Henry Moret is one of the most recognized French painters of the School of Pont-Aven - whose paintings are valued between 40,000 and 225,000 euros - works of which one wonders if they have ever been evaluated in the city .
The list is much longer, since there are also works by Henri Barnoin in these reserves, such as La Chapelle Saint-Fiacre; Charles de Tournemine, Jean-Bertrand Pegot-Ogier, Bords du Blavet; Alphonse Durand known as Le Lorientais, Yann D’Argent, Stéphen Gallot, Undergrowth of Kéroman; Arthur Midy, Marie Blanchet Magon, The boatman in a street in Larmor; Narcisse Chaillou, Alexis de Broca, Young woman from Kérentrech; Théophile Deyrolle, Breton hunters; Max Clément, Gavroche from Lorient; Alfred Guillou, Lucien-Victor Delpy, View of the port of Lorient; Granchi-Taylor, Emma Herland, Ernest Coroller, Lomener, Caroline Espinet, Anse à Kéroman; Elodie La Villette, Lorgeoux, Emile Compard, Fish sorters; Maxime Maufra, etc.
The list is too long for us to list them all here
1 Prolégomènes
Une partie de cette collection se trouve dans les réserves du musée municipal de la Ville de Lorient, c’est à dire dans le bâtiment même de la Mairie, 2 boulevard Philippe Leclerc, à Lorient.
Bâtiment de la Mairie de Lorient où se trouvent les réserves du musée municipal, 2018 © Google
Elle a été acquise par les élus de la Mairie en 1895. Voilà donc près de 125 ans que cette collection des oeuvres de Michel Bouquet appartient aux lorientais.
Il n’y a pas que des oeuvres de Michel Bouquet dans cette collection achetée par les impôts des lorientais, mais aussi quelques rares fragments qui ont survécu de la dispersion de sa collection personnelle, dont notamment deux Troyon, deux Isabey et surtout deux Géricault, la vie de ce dernier peintre ayant été tellement courte, que ses oeuvres sont d’une insigne rareté.
Il existe aussi dans ces réserves de la Mairie de Lorient des oeuvres de Henry Moret, Groix ou Entrée du port de Doeslan. Henry Moret est un de peintres français les plus reconnus de l’Ecole de Pont-Aven – dont la valeur des tableaux oscille entre 40 000 et 225 000 euros – des oeuvres dont on se demande si elles ont jamais été exposées dans la ville.
La liste est bien plus longue, puisqu’il existe également dans ces réserves des oeuvres de Henri Barnoin, comme par exemple La Chapelle Saint-Fiacre ; Charles de Tournemine, Jean-Bertrand Pegot-Ogier, Bords du Blavet ; Alphonse Durand dit Le Lorientais, Yann D’Argent, Stéphen Gallot, Sous-bois de Kéroman ; Arthur Midy, Marie Blanchet Magon, Le bâteleur dans une rue à Larmor ; Narcisse Chaillou, Alexis de Broca, Jeune femme de Kérentrech ; Théophile Deyrolle, Chasseurs bretons ; Max Clément, Gavroche lorientais ; Alfred Guillou, Lucien-Victor Delpy, Vue du port de Lorient ; Granchi-Taylor, Emma Herland, Ernest Coroller, Lomener, Caroline Espinet, Anse à Kéroman ; Elodie La Villette, Lorgeoux, Emile Compard, Trieuses de poisson ; Maxime Maufra, etc.
La liste est trop longue pour que nous puissions les citer tous ici. Quelques-unes de ces oeuvres, 71, ont été exposées en 2007 dans le cadre de la Société Lorientaise des Beaux-Arts.
Le Musée de la Compagnie des Indes m’avait envoyé en 2019 une liste de 560 oeuvres détenues dans les réserves picturales de la Ville de Lorient. Il s’avère selon les études réalisées par l’Hôtel Gabriel de Lorient qui a organisé plusieurs expositions – dont tout récemment une sortie des réserves – que le nombre d’oeuvres total s’élève à près de 700.
Ajoutons à cela les 2034 dessins, 609 estampes et 304 peintures détenues par les Archives municipales de Lorient et nous avons là un fonds conséquent sur lequel bâtir l’histoire des Lorientaises et des Lorientais.
Lorient sort de sa réserve, Hôtel Gabriel, Ville de Lorient, du samedi 11 juillet 2020 au mercredi 30 septembre 2020 © Collection particulière
Des oeuvres de cette collection ont été extraites de temps en temps pour être montrées ailleurs, notamment à Rennes, sous l’appellation officielle Musée municipal de Lorient et ce en 1988.
Il en est de même 31 ans plus tard, cette fois-ci sous l’appellation officielle Réserves picturales de la Ville de Lorient, pour d’autres oeuvres des réserves, montrées en 2019 au musée du Faouët,
dont celles d’Henri Barnoin
Jean-Bertrand Pegot-Ogier
Henri-Lucien Buron
Emile Schmidt-Verlin
Arthur Midy
Lucien-Victor Delpy
En 1988 le Musée de Bretagne situé à Rennes faisait ainsi paraître un catalogue d’exposition intitulé Du nouveau dans le rétro, Les faïences bretonnes du XIXème siècle, dans lequel étaient présentées des photographies d’oeuvres de Michel Bouquet détenues par la Ville de Lorient.
Du nouveau dans le rétro, Les faïences bretonnes du XIXème siècle, Éditions Musée de Bretagne, Rennes, 1988, Broché 22 x 23 cm, 58 pages, ISBN 2-901429-09-2 © Collection particulière
Ces photographies étaient accompagnées d’un descriptif ainsi que des coordonnées du détenteur de l’oeuvre. Les oeuvres de Michel Bouquet sont ainsi mentionnées sous le titre Musée Municipal, comme on peut le voir ci-dessous sur l’extrait de ce catalogue. Il existait donc à Lorient en 1988 un musée municipal de la Ville de Lorient
Du nouveau dans le rétro, Les faïences bretonnes du XIXème siècle, Éditions Musée de Bretagne, Rennes, 1988, Broché 22 x 23 cm, 58 pages, ISBN 2-901429-09-2, page 30 © Collection particulière
Les recherches menées par Anne-Marie Chiron dans son remarquable mémoire de Maîtrise, voir Anne-Marie CHIRON, Le musée de Lorient 1879-1939, Mémoire de maîtrise, Histoire de l’Art, Université de Rennes 2 Haute-Bretagne, Volume I, 308 p. et Volume II, 137 p., 1994, nous ont fait découvrir qu’il existait un accord d’achat passé par contrat entre la Mairie de Lorient et le neveu de Michel Bouquet en 1895.
Anne-Marie CHIRON, Le musée de Lorient 1879-1939, Mémoire de maîtrise, Histoire de l’Art, Université de Rennes 2 Haute-Bretagne, Volume I, pages 128 et suivantes, 1994
Anne-Marie CHIRON, Le musée de Lorient 1879-1939, Mémoire de maîtrise, Histoire de l’Art, Université de Rennes 2 Haute-Bretagne, Volume I, pages 128 et suivantes, 1994
2 Les trésors des réserves picturales du Musée municipal de Lorient concernant Michel Bouquet
Ces créations artistiques sont publiées dans l’ordre de l’inventaire des réserves de la Ville de Lorient, inventaire réalisé par les services municipaux de la Ville.
Michel Bouquet, Retour du troupeau, Peinture sur émail cru stannifère, Faïence au grand feu, 29 x 49 cm © Ville de Lorient, inv. n° 58
Pour accompagner cette oeuvre, mon choix se porterait sur Tendresses de la compositrice lorientaise Cécile Seraud
Paysage, sous-bois
Michel Bouquet, Paysage, sous-bois, Peinture sur émail cru stannifère, Faïence au grand feu, 14 x 25 cm © Ville de Lorient, inv. n° 59
Pour accompagner cette oeuvre, mon choix se porterait sur Libertango d’Astor Piazzola joué au piano par les soeurs Khatia et Gvantsa Buniatishvili
Paysage, chemin au bord de la mare
Michel Bouquet, Paysage, chemin au bord de la mare, Peinture sur émail cru stannifère, Faïence au grand feu, 30 x 50 cm © Ville de Lorient, inv. n° 60
Paysage, bavardage sur le rocher
Michel Bouquet, Paysage, bavardage sur le rocher, Peinture sur émail cru stannifère, Faïence au grand feu, 17 x 32 cm © Ville de Lorient, inv. n° 61
Pour accompagner cette oeuvre, mon choix se porterait sur L’air de Jeannette dans Les Noces de Jeannette du compositeur lorientais Victor Massé
Marée montante, vaches s’abreuvant
Michel Bouquet, Marée montante, vaches s’abreuvant, Peinture sur émail cru stannifère, Faïence au grand feu, 30 x 49 cm © Ville de Lorient, inv. n° 62
Pour accompagner cette oeuvre, mon choix se porterait sur Petite valse perdue de la compositrice lorientaise Cécile Seraud
Chemin creux
Michel Bouquet, Chemin creux, Peinture sur émail cru stannifère, Faïence au grand feu, 43 x 33 cm © Ville de Lorient, inv. n° 63
Bord de rivière
Michel Bouquet, Bord de rivière, Peinture sur émail cru stannifère, Faïence au grand feu, 14 x 25 cm, 1869 © Ville de Lorient, inv. n° 64
Barques napolitaines
Michel Bouquet, Barques napolitaines, Peinture sur émail cru stannifère, Faïence au grand feu, 30 x 50 cm © Ville de Lorient, inv. n° 65
Marine, Marée montante
Michel Bouquet, Marine, Marée montante, Huile sur toile, 30 x 49 cm © Ville de Lorient, inv. n° 66
Pour accompagner cette oeuvre, mon choix se porterait sur Pen Er Malo, Entendez-vous la mer ? de la compositrice lorientaise Cécile Seraud
Paysage breton, chemin dans la forêt ou retour à l’étable
Michel Bouquet, Paysage breton, chemin dans la forêt ou retour à l’étable, huile sur toile, 48 x 107 cm © Ville de Lorient, inv. n° 67
Paysage breton
Michel Bouquet, Paysage breton, Pastel sur papier, 60 x 48 cm, Ville de Lorient © inv. n° 68
Paysage d’hiver
Michel Bouquet, Paysage d’hiver, gouache, 43 x 71 cm, signé en bas à droite © Ville de Lorient, inv. n° 69
Pour accompagner cette oeuvre, mon choix se porterait sur Gnossienne n° 1 d’Erik Satie, composée dans les dernières années du vivant de Michel Bouquet
Le ruisseau dans la forêt
Michel Bouquet, Le ruisseau dans la forêt, huile sur toile, 47 x 59 cm © Ville de Lorient, inv. n° 70
Il semblerait qu’une autre toile figure aussi dans les réserves de la Ville de Lorient sous le nom de Keremma, achetée en 1899. S’y trouve-t-elle toujours ? S’agit-il d’une seule et même oeuvre ou de deux oeuvres différentes ? Dans l’état actuel de nos connaissances, nous l’ignorons
Les barques
Michel Bouquet, Les barques, gouache sur papier, 28 x 44 cm, achetée par la ville de Lorient le 14 avril 1894 © Ville de Lorient, inv. n° 71
Paysage breton de marais
Michel Bouquet, Paysage breton de marais, huile sur toile, 48 x 68 cm © Ville de Lorient, inv. n° 72
Portrait de Michel Bouquet
Jaroslaw Cermak, 1831-1878, Portrait de Michel Bouquet, huile sur toile, 47 x 59 cm, acheté par la ville de Lorient © Ville de Lorient, inv. n° 83
Charles Chalin, une eau-forte offerte à Michel Bouquet
Charles Chalin, L’embarquement pour l’île de Cythère, Eau-forte, Chalchographie du Louvre, achetée par la ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 88
Assin Pacha à Pera
Non photographié par la Ville de Lorient
Michel Bouquet, Assin, pacha à Pera, Dessin au crayon gouaché, 24 x 32 cm © Ville de Lorient, inv. n° 381
Ferme près de Kervégan, Morbihan
Non photographié par la Ville de Lorient
Michel Bouquet, Ferme près de Kervégan, Morbihan, Dessin au crayon gouaché, 27 x 39 cm © Ville de Lorient, inv. n° 382
Evariste Luminais, une huile possédée par Michel Bouquet
Evariste Luminais, Sous-bois à la fontaine, Huile sur carton, 47 x 34 cm, avant 1896, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 154
Hugues Merle, une huile possédée par Michel Bouquet
Hugues Merle, 1822-1881, Africain en prière, Huile sur toile, 43 x 34 cm, Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 159
Pour accompagner cette oeuvre, mon choix se porterait sur Stabat Mater de Pergolèse, écrite deux mois avant sa mort à 26 ans en 1736, une oeuvre qui nous vient du XIIIème siècle
Pro peccatis suæ gentis
vidit Iesum in tormentis
et flagellis subditum.
Pour toutes les fautes humaines,
Elle vit Jésus dans la peine
Et sous les fouets meurtri.
Victor Pollet, une aquarelle possédée par Michel Bouquet
Victor Pollet, 1811-1882, Femme nue, Aquarelle, Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 183
Pour accompagner cette oeuvre, mon choix se porterait sur Love is A losing game d’Amy Winehouse, 2006
et s’accompagnerait d’une lecture d’un texte commis par une personne que Michel Bouquet connaissait bien, un texte qui est une prise de position sans équivoque dans le débat qui fait scandale en 1830 : l’art doit-il être moral ?
« Il est vrai qu’elle est d’une dépravation charmante, pleine d’esprit, de verve et de caprice. C’est une excellente maîtresse pour un jeune homme qui a des préjugés. En huit jours elle vous débarrasse une conscience de tout scrupule, et vous corrompt le cœur de manière à ce que vous ne soyez jamais ridicule ni élégiaque. Elle a sur toutes choses des idées d’un positif inexprimable ; elle va au fond de tout avec une rapidité et une sûreté qui étonnent. C’est l’algèbre incarnée que cette petite femme-là ; c’est précisément ce qu’il faut à un rêveur et à un enthousiaste. Elle t’aura bientôt corrigé de ton vaporeux idéalisme : c’est un grand service qu’elle te rendra. Elle le fera du reste avec le plus grand plaisir, car son instinct est de désenchanter des poètes. »
Théophile Gautier, Préface à Mademoiselle de Maupin, Roman, Extrait, Paris, 1834
Alexandre Decamps, un fusain possédé par Michel Bouquet
Alexandre-Gabriel Decamps, 1803-1860, Le chêne et le roseau, Fusain, Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 103
Théodore Géricault, un lavis possédé par Michel Bouquet
Théodore Géricault, 1791-1824, Postillon et Chevaux, Lavis, Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 123
Théodore Géricault, un lavis possédé par Michel Bouquet
Théodore Géricault, 1791-1824, Piqueurs à cheval, Lavis, Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 127
L’inventaire de la ville de Lorient fait mention de Chevaux, mais le vrai nom de ce dessin est Piqueurs à cheval
Quelques années après la seconde guerre mondiale, en 1953, l’artiste remarquable qu’était Max Clément se proposait de faire restaurer les oeuvres de la Ville de Lorient,
et pour cela exposait les deux Géricault dans le bureau du 3ème adjoint de la Mairie à l’hôtel de Ville, mais rien n’y fit, car en butte à la détestation de la culture dite bourgeoise par les élites municipales de l’époque et leur volonté de faire table rase du passé, table rase qui a continué jusqu’en 1969 avec la destruction du dernier grand témoin monumental de la Ville de Lorient rescapé des bombardements de 1942 et 1943, la Salle des Fêtes
La magnifique Salle des fêtes de la Ville de Lorient vers 1900
La Salle des fêtes de la Ville de Lorient, Rue de la Patrie, Carte postale, vers 1905 © Collection particulière
L’entrée d’honneur
La Salle des fêtes de la Ville de Lorient, Rue de la Patrie, Carte postale, vers 1905 © Collection particulière
La Salle des fêtes de Lorient avant 1969, à droite en bas et devant les baraquements
La Salle des fêtes de la Ville de Lorient, Vue aérienne, avant 1969 © Site Facebook Larmor-Plage « bon vent à qui me salue »
une Salle des fêtes rescapée miraculeusement des bombardements, cette action de destruction autorisée par les élites municipales de la Ville de Lorient – la salle des fêtes étant remplacée par un parking – effaçant par là-même tous les souvenirs de bonheur des lorientais qui s’y étaient rencontrés pour les bals, sources d’amourettes et de futurs mariages, pour les soirées entre amis, le plaisir d’assister aux spectacles,
une décision municipale qui ajoutait à la douleur physique d’avoir retrouvé une ville totalement anéantie pour un résultat quasi-nul, la base étant toujours debout en 1943-1944,
une décision municipale qui ajoutait une douleur morale et psychique aux Lorientais puisque l’espace des rêves et des joies lui-même disparaissait en 1969
En 1953 Max Clément, Conservateur du Musée de Lorient, proposait de restaurer les oeuvres des réserves picturales de Lorient, ce qui ne fut jamais suivi d’effet
La Liberté du Morbihan du 13 Août 1953 © Collection particulière
Gavarni, un dessin possédé par Michel Bouquet
Sulpice-Guillaume Chevalier, dit Paul Gavarni, 1804-1866, Un pur, dessin, Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 125
E. J Sabor
E. J Sabor, Paysage, s.d. © Ville de Lorient, inv. n° 138
Une oeuvre transmise par la Ville de Lorient, mais nous ignorons si elle faisait partie des donations, legs et dons ultérieurs en relation avec Michel Bouquet
Solon, une céramique possédée par Michel Bouquet
Marc-Louis Solon, 1835-1913, Allégorie en camaïeu, Céramique en pâte sur pâte ou pâte rapportée, 34 x 23 cm, Collection personnelle de Michel Bouquet, achetée par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 194
Constant Troyon, un pastel possédé par Michel Bouquet
Constant Troyon, 1810-1865, Vue de Quimperlé, Pastel, 13 x 29 cm, Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895© Ville de Lorient, inv. n° 197
Constant Troyon, un dessin possédé par Michel Bouquet
Constant Troyon, 1810-1865, Dessin, 34 x 25 cm, Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 198
Vincent Vidal, un dessin possédé par Michel Bouquet
Non photographié par la Ville de Lorient
Vincent Vidal, 1811-1887, Pêcheuses, fusain, Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n°
Charles Millet, un dessin possédé par Michel Bouquet
Non photographié par la Ville de Lorient
Charles-Louis Millet, Dessin colorié, Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n°
Isidore Pils, une aquarelle possédée par Michel Bouquet
Isidore Pils, 1815-1875, Vue d’un four, Aquarelle, signé et adressé A Michel Bouquet en bas à droite, Collection personnelle de Michel Bouquet, achetée par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n° 181
Eugène Isabey une aquarelle possédée par Michel Bouquet
Non photographié par la Ville de Lorient
Eugène Isabey, 1803-1886, Aquarelle, Collection personnelle de Michel Bouquet, achetée par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n°
Eugène Isabey, un dessin possédé par Michel Bouquet
Non photographié par la Ville de Lorient
Eugène Isabey, 1803-1886, Dessin, s.d., Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n°
Mme Camille de Chantereine
Non photographié par la Ville de Lorient
Mme Camille de Chantereine, Fleurs, aquarelle, s.d., Collection personnelle de Michel Bouquet, acheté par la Ville de Lorient en 1895 © Ville de Lorient, inv. n°
A mon ami Bouquet
Illisible, Couple de pêcheurs rentrant à la maison, A mon ami Bouquet, s.d. © Ville de Lorient, inv. n° 200
Si Michel Bouquet est tellement présent dans les réserves municipales de la ville de Lorient, c’est qu’il était très engagé dans la promotion de la Bretagne et de la culture bretonne tout au long du XIXème siècle